Expérience sociale: Talent caché des quémandeurs
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Ce que j’observe quand quelqu’un demande de l’argent
En vrai, les gens qui demandent de l’argent sont souvent bien plus doués en finance et en business qu’on ne le pense. Ils optimisent sans le dire : réduire leur coût d’humiliation tout en maximisant leur bénéfice. Le bénéfice ici, c’est l’argent qu’on leur donne gratuitement
Tendre la main, pas facile
Demander de l’argent, à des inconnus, des amis ou la famille, c’est difficile si on a un égo. En le faisant, on s’abaisse, on s’expose.
Résultat de mon experience sociale
Avec le temps, j’ai compris un truc: Les gens qui demandent ne veulent jamais accepter moins que le coût d’humiliation. C’est logique. Ils peuvent toujours accepter, mais ça ne les sauve pas.
Alors moi, j’ai fixé ma règle : peu importe ton problème, je ne donnerai pas plus de deux-mille. Tu as un souci de deux-cent-mille ? Je donne deux-mille. Un souci de dix-mille ? Deux-mille. Parce que moi aussi, j’ai mes propres problèmes.
Si tu me demandes moins de deux-mille, on n’est pas au même niveau. Je préfère ne pas fréquenter quelqu’un qui ne peut pas me demander plus.
Transformer ça en opportunité
Mais plus j’en parle, plus je vois que c’est un vrai business. Tout à gagner, rien à perdre… sauf l’égo. Imagine : une liste de mille personnes. Il me suffit d’en trouver dix qui donnent chaque semaine ou chaque mois. Même si la personne ne donne qu’une fois sur dix, ça reste rentable. C’est difficile de dire non tout le temps à la même personne. C’est un modèle sur lequel on peut capitaliser.
Plus sérieusement
ces gens-là ont un talent. Ils savent vendre, négocier, évaluer. Ils devraient en faire un vrai métier : commercial, analyste, investisseur… Parce qu’en vrai, demander de l’argent, c’est déjà maîtriser un art du business.