Comment je recrute et gère des chauffeurs VTC à Dakar (sans perdre mon investissement)

Jun 25 / 1 min read

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Le vrai problème quand tu investis dans un VTC ? Ce n’est pas le véhicule. C’est le chauffeur.

Un mauvais recrutement peut ruiner ton investissement. J’ai perdu du temps (et de l’argent) avant de trouver un système qui fonctionne.

Aujourd’hui, voici comment je fais :

  1. Je ne cherche pas un CV. Je cherche quelqu’un de débrouillard. Pas besoin d’avoir déjà fait du Yango ou autre. Mais il faut savoir lire, se débrouiller à Dakar, et surtout… être fiable.

  2. On propose un cadre clair.

  • Véhicule bien entretenu
  • Salaire fixe + primes de performance
  • Repos le lundi + inspection régulière
  • Suivi GPS avec alertes (vitesse, kilométrage, comportement)
  1. On a 3 formules :
  • Binôme (2 chauffeurs, 1 véhicule) avec carburant pris en charge
  • Versement 20k/jour + salaire 100k
  • Versement 15k/jour sans salaire
  • Toutes avec des limites claires : 250 km/jour, 120 km/h, pas plus de 14h de conduite.
  1. On inspecte chaque lundi.
  • Zéro surprise.
  • Zéro excuse.
  • Le chauffeur sait ce qu’il a à faire.
  • Et nous aussi.

Ce système n’est pas magique.

  • Mais il réduit les risques.
  • Et permet d’avoir un revenu stable sans dépendre d’un seul profil.

Un VTC n’est pas un revenu passif. Mais avec un cadre, une méthode, et un peu d’implication… ça devient une machine à cash bien huilée.

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